Un aperçu du sens profond qu'avait l'apôtre Paul du sacerdoce de tous les croyants. En premier vient le partage dans l'intercession (il a besoin d'eux), puis dans la sincérité, dans l'onction (pas seulement pour le prédicateur), et enfin en expérimentant le Seigneur (l'église locale ne requiert aucune direction extérieure).

Paul commence en parlant de Dieu, un Père plein de compassion pour Ses enfants, puis il aborde la souffrance pour Christ et pour l'Evangile, en particulier sa propre expérience (si proche de la mort), et le but spirituel de sa souffrance : le délivrer de toute confiance en lui-même.

Certains croyants imaginent que Christ leur parle et même qu'Il les touche, alors que d'autres réagissent en opposition à un piétisme extrême et ne pensent pas à la présence constante de Christ avec eux. Ici nous considérons la proximité de Christ tout au long des récits de la Bible. Quelle richesse et quelle puissance que de Le "voir" avec les yeux de la foi !

Paul commande de ne pas être en communion avec des croyants qui de manière persistante méprisent les enseignements des apôtres. L'un des exemples de vie désordonnée est le refus de travailler pour subvenir à ses besoins. Nous considérons aussi les principales désobéissances qui affectent sérieusement l'oeuvre de l'Evangile. Voici un appel à la communion fraternelle et à l'harmonie.

L'apôtre Paul explique que les authentiques croyants prient pour l'oeuvre de l'Evangile, ils expérimentent l'opposition (et la délivrance), ils ont une conscience active qui les amène à obéir au Seigneur, ils ressentent toujours plus Son amour, et ils s'attendent à Son retour. Expérimentons-nous réellement ces caractéristiques d'une marche chrétienne sincère?

Paul parle d'abord de notre dette envers Dieu (et de l'effet de l'élection dans notre vie), puis de notre expérience de l'appel de Dieu, de notre responsabilité de rester fermes dans la foi, des différents aspects de Sa bénédiction, et de la force qu'Il nous donne.