Les croyants devraient-ils être remplis de doutes et de craintes ? Voici le fondement de notre assurance : premièrement, l'oeuvre de la Parole en nous, ses explications et sa puissance de conviction ; deuxièmement, l'accessibilité de Christ, qui pourvoit et qui nous aide constamment. Les doutes ne peuvent pas persister quand Dieu nous parle et répond à nos prières.

L'apôtre nous ordonne de nous soumettre aux autorités, et il nous interdit de les diffamer, ou de diffamer quiconque. Il passe en revue notre vie passée, et nous donne un aperçu (en 14 points) de l'oeuvre puissante de Dieu en nous, nous incitant à oeuvrer pour le salut des autres.

Un concept inattendu mais crucial, donné par Paul dans ce passage : la grâce discipline et forme les croyants. Comment ? L'apôtre Paul fait un résumé remarquable du but et des objectifs du croyant dans ce monde présent, alors qu'il s'attend ardemment au retour du Seigneur.

Premièrement, Paul dépend des prières des croyants, en particulier pour l’assurance et la clarté de ses paroles, et ceci est un enseignement pour nous aujourd’hui. Nous voyons aussi les aspects essentiels d’un ministère biblique, et le concept poignant d’un ambassadeur dans les chaînes.

Une explication des paroles utilisées par l’apôtre Paul dans sa merveilleuse exhortation à prier qui suit les « armes de Dieu » : des termes tels que « en tout temps », « supplications », « veillant à cela », « persévérance », et particulièrement « par l’Esprit ». Nous considérons ici ce que ce dernier terme si encourageant et gratifiant signifie, et ne signifie pas.

Dans l’illustration du soldat, l’épée de l’Esprit représente l’œuvre de l’Evangile dans l’église. Voici la puissance de l’Evangile qui pénètre, sonde et persuade, lorsqu’il est prêché à l’exemple des apôtres. Une église ou un croyant qui ne proclament pas le salut sont comme un soldat sans épée.

Le casque est l’espérance du salut final, quand la gloire du Ciel se lèvera pour l’âme et nous verrons Christ – c’est la plus grande motivation pour Le servir. Nous voyons ici l’expérience de la mort du croyant, et combien le Seigneur souligne la vie éternelle.